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samedi 22 janvier 2022 à 14h

Manifestation CONTRE le PASS

Contre le PASS qui n'a rien de "Médical". Contre les insultes de Macron. Pour l' annulation des sanctions (suspensions-Macron).

ON MANIFESTE dans les rues de Nîmes,

comme CHAQUE SAMEDI, depuis juillet.

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« Nos uniformes nous retiennent ! »

(paroles d'un policier nîmois)

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Ces propos, ont été adressés, à des manifestants, par un membre des forces de l' ordre, en uniforme, devant la gare de Nîmes, samedi 08 janvier, vers 18 heures, lors du rassemblement, contre les insultes de Macron.

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On pourrait penser qu'il s'agisse de paroles bienveillantes, si elles avaient été prononcées avec un sourire complice, et avec courtoisie.

Non, c'était tout le contraire. Elles ont été dites avec sur un ton très agressif, qui témoignait d' une violence extrême. Et la posture de ce policier, très menaçante, était sans ambiguïté, elle transmettait de façon explicite le message suivant : « Qu'on me retienne, j'ai envie cogner ! ».

Ajoutons que quelques instants auparavant, le même homme en uniforme, effectuait de façon répétée des raclements de gorge, très bruyants, à la manière de quelqu'un qui va cracher.

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Une protestation officielle a été adressée aux autorités. Mais elle sera certainement rangée au fond d'un placard, comme les précédentes (*) - voir plus bas - .

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Outre le fait qu'un agent du ministère de l'Intérieur en service, n' est pas autorisé à afficher ses convictions politiques, il n' a pas non plus le droit d' utiliser son uniforme pour suggérer celles-ci, par des comportements très provocateurs.

Mais comment s'étonner que de tels incidents se produisent, lorsqu'au plus haut sommet de l'Etat, Macron se permet de faire pire, en insultant ses opposants ?

En effet, en annonçant ouvertement qu' il allait « emmerder jusqu'au bout », ceux qu'il qualifie « d'irresponsables », notre Rambo en culotte courte donne le tempo : Il se lâche, les factieux lui emboitent le pas.

Il avait déjà fait de même en 2018/19 à l'encontre des Giltes-Jaunes. A l'évidence, il recommence, cherchant visiblement à créer des incidents.

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Macron sent la fin de son règne approcher.

Il devient dangereux :

Ne le laissons pas continuer !

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(*) - Protestations classées sans suite -

A Nîmes, le Parquet classe systématiquement « sans suite » toutes les plaintes pénales relatives aux exactions policières. Par contre, il engage immédiatement des procédures expéditives, dès lors qu'il peut casser du Gilet-Jaune : C'est ça « L'Indépendance de la Justice » ! …version nîmoise.

Mais Nîmes n'est pas une exception de ce parti-pris : En France, 4 000 plaintes ont été déposées contre des violences policières. Toutes ont été classées "sans suite" …pendant que 40 000 Gilets-Jaunes ont été condamnés (dont 1 000 à la prison ferme). C'est la version macronienne du « Droit d'expression » …des libertés et de la Démocratie !

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Source : message reçu le 16 janvier 07h